Mauvaise Heure - feat [Eole]

Je fermais les yeux tendis que le vents malmenais son épais pelage de neige, de cendre et de feux. Le bruits de la foule et de l'agitation et le brouhaha incessant de la foule s'éleva en même tend que la bourrasque qui me fit ouvrir les yeux. Le ciel étais bleu, d’une beauter incomparable, je crus me perdre dans cette somptueuse immensité qui ne semblais que vouloir me happer et ne plus me laisser retourner sur terre. Ce même bleu que contient mes yeux, est il vraiment aussi beau ? Parvient il réellement a aspiré la conscience des personnes me regardant ? Se perdent ils dans mon regard comme je me perd en regardant ce ciel ? J'ai la curieuse impression que le temps se stoppe autour de moi alors que les bourrasques de vents continue a malmener mon pelage en bataille. Bercer par les bruits de pas, de rire et les discutions futiles et innocentes des personnes m’entourant, je voudrais rester ainsi toute la journée, en me perdants et en rêvant de ce ciel … Est il dans ce ciel ? Est ce pour cela que je me sens irrémédiablement attiré par cette couleur et cette sensation d'infinie émanant de ce somptueux paysage ?
Je sursaute tendis que j’entends quelqu'un m'interpeller dans mon dos.

« Capitaine ! »

Trois chats en tenus de gardes royale m'appelle depuis l'autre bout de la place, je réalise alors que toute les personnes sur la grande place me regarde comme si je n'étais pas quelque chose de naturel. N’avaient ils jamais vu un Capitaine de la garde royal sans son armure ? De l'admiration, du dégoût, de la curiosité et de la stupeur, voilà ce que je lisait dans leurs regardes alors que je les scrutais, les yeux plisser. Que regardent ils ? N'ont il rien de plus intéressant a faire que de dévisager un capitaine de la garde royale ?
Je pousse un légé soupir en entendants les trois chats m'appeler a nouveau à l’autre bouts de la place. Je jette un dernier regard au ciel immense et somptueux qui étais juste au dessus de nos tête et qui nous surplombais tous les jours, quel gaspillage, nous ne levons pas assez la tête, préférant se cantonner a ce qui est a la hauteur de notre tête alors que si on regard un peu plus loin, il y a un monde magnifique qui nous attend. Je me lève sur cette penser, en secouants mon pelage le plus dignement possible avant de m'avancer au pas vers les trois gardes, la queux haute, la tête droite, une démarche élégante et raffiner pour un membre de la garde royal n'est ce pas ? Il ne faut pas oublier que je suis aristocrate, je me doit de leurs montré a tous que je suis bien plus qu'un simple capitaine.
Ils riaient en comparants les passants a des aliments, n'ont il rien de mieux a faire que de discuter d'idiotie comme si ils étaient des chaton s'amusant a se moquer de leurs camarade ?
Je fouette l'air avec ma queux pour indiquez ma présence et mon agacement, tous de suite après, les gardes se mettes en ligne devant moi, droit  et la tête lever.

« N’avaient vous rien de mieux a faire messieurs ? Dit-je d'un ton hautain et accusateur en levant un sourcil.Je ne vous aie pourtant dis que vous n'aurais pas le droit a votre pause avant d'avoir fait le tour du cartier en arrêtant les personnes semblant louche ! Est ce fait ?
-OUI COMMANDANT !!!
-Puis je faire confiance a trois jeunes chat qui riaient en comparants les passants a des sardines périmer ? Croyez vous que cela est drôle de manquer ainsi de respect a votre nation ? A la population que vous avez promis de protégé ? Que faitent vous dans la garde royal ? Vous pensiez que c’était un emploie sympa où vous vous tourneriez les cousiner ? Si c'est que que vous pensez vous feriez mieux de partir tous de suite ! Le royaume n'a pas besoin de chatons irresponsable tel que vous ! »

Je leurs lance un regard accusateur et froid en leurs crachant ces mots au visages. Qu'est ce que cette nouvelle génération de garde ? Des jeunes chats incapables de faire quelque chose sérieusement. Je voit bien qu'ils paniques et se sentes mal, que pense les passants en me voyant les réprimer comme si ils étaient enfants ? Ils peuvent bien se sentir mal je n'en aie rien a faire, ils on gâcher mon humeur et mon temps et ils doivent en payer le prix.
Je soupire et reprend toujours d'un ton glacial mais plus calme :

« Très bien messieurs, vous êtes grands, vous allez donc me faire a nouveau le tour du cartier, plus lentement, en prenant bien le tempos de regarder partout, d'aider si besoin et de remettre a leurs places les personnes qui en on besoin, vous viendrais ensuite me trouver en fin d'après midi avec un rapport détailler de votre tour de garde. Me suis-je bien fait comprendre ? »

Les trois chats n'ose rien dire et se contente de hocher la tête avant de partir silencieusement vers une des ruelles. Je les regardes s'éloigner avant de soupirée. Mais quels chatons immatures …
J'avais crus voir une taverne ou un bar en passant tous a l'heure... Peut être est ce mieux que j'aille y faire un tour ? Je n’ai plus rien a faire a part quelques papier quand je rentrerais, j'ai besoin de me remonter un peut le moral avant de me remettre au travail, après tous, j'ai bien le droit a une petite pause moi aussi...

J'entre dans un petit établissement un peu cacher, l'intérieur est quelque peut sombre mais on se fait très vite a la luminosité intérieur. Je voit tous le monde me regarder quand j'entre et que je m'avance vers le contoire, je n''avais pourtant pas mon uniforme aujourd'hui … Je leurs lance a tous un regard glacial afin qu'ils se retournent, chose qui marche plutôt bien.

Je ne vient jamais dans ce genre d'établissement, je commande quelque chose de pas très fort et j’attends ma commande en pensant a tous les papiers que j'aurais a remplir une fois rentrée.

Je regardais le vers que l'on m'avais servie avec curiosité, la magnifique couleurs ambré que possédait le breuvage qui s'y trouvais, reflétais mon visage. En me regardant dans mon verre, je me demandais encore pourquoi les clients m’avaient regarder comme sa quand je suis entrée dans l'établissement … Je ne pensait pas que j'étais une commandante aussi connue que cela, j'avais pourtant été promue il y a peu a la place de … Peu importe, je secoue légèrement la tête pour chasser cette idée et me reconcentre sur le liquide a la belle couleurs que je devais boire. Je ne connaissait pas la qualité de l'alcool des petites tavernes mais il me fallait bien tester maintenant que j'étais la...
Je trempe ma langue avec lenteur dans le liquide.
Oh mais, ce n'est pas aussi mauvais que ce que j’aurais crus, je dirais même que c'est surprenant doux. Il y a donc des choses buvables dans les petits commerces ! Ce n'est serte pas comparable aux alcools aux quels je suis habituer mais ce n'est pas désagréable.

Je continue a boire mon verre sans un bruit alors qu'une voix féminine a coter de mois atteint mes oreilles... Maintenant que j'y pense, peut être étais ce a cause de mes oreilles retourner qu'on m'avais fixer a l'instant, il faut dire que ma race n'est pas très rependus, surtout pas dans les habitants de la basse ville.

-C'est rare de voir des Aristocrates dans la Taverne, en plus une Dame, il vaut mieux faire attention dans cette endroit vous savez ? Surtout la nuit.

Je tourne la tête vers la personne a qui appartenais cette voix. C’était une chatte portant une cape qui marquait sa tête et une bonne partie de son corps, mais malgré cela je pus distinguer un poils brun et court, moyennement entretenu, il étais claire que cette personne n'étais pas riche, pas pauvre, mais pas riche. En me rendant compte de l'état de son pelage je tourne la tête vers les autres clients de la taverne, eux non plus n'avais pas un pelage très soigner. J'inspecte mon torse puis le reste de mon pelage pour me rendre compte que mon poils long, blanc, gris, beige et roux n'avais aucune tache, salissure et étais bien brosser pour que les nœud de celui ci sembles harmonieux.
Je dit a voie basse :

« C'est pour cela ... »

Je soupire un peut en regardant mes pattes blanches parfaitement propre et en les comparants a celles de la chatte assise a coter de moi. Premièrement elles sont plus grosses que les miennes, sûrement car la chatte en elle même est plus grande que moi (c'est pas très compliquer en même temps d'être plus grand qu'Eole), mais elles semblaient aussi abîmés et légèrement sales.
Je soupire a nouveaux tous en regardants la chatte, je lui offre un petit sourire polie et légèrement amical comme le veut mon éducation avant de lui répondre.

-Oui j'ai bien conscience que vous devez voir assez peu de personne de mon rang, je ne fessait que passez par la quand j'ai vu l'enseigne. Et ne vous en faite pas, je ne compte pas m’éterniser par ici.

Mes collègues de la gardes tomberais sûrement a terre en me voyant sourire mais que voulez vous, il faut bien faire un minimum bonne figure quand on est dans un lieux inconnue a parler avec une personne inconnu.

La jeune chatte penche la tête sur le coter, semblant surprise de ma réponse. Qu'ai-je dit ? Peut être aie-je été trop polie ? Faut il que j’emploie un langage plus familier avec des personnes de classe plus basse ?
Je me rappel alors que j’emploie souvent un langage complexe et méprisant afin de remettre a leurs places les jeunes gardes. Quel idiote, je ne veut pas être une meneuse d'homme ici, je ne veut pas qu'on me regarde comme si j’allais tuer tous le monde non plus !
Je soupire pour moi même en pensant a la façon dont j'avais parler a mes collègues tous a l'heure. Je leurs aie peu être également assez mal parler … Devrai-je aller m'excuser auprès d'eux ? Non ! Bien sur que non ! Quel image donnerai-je si j'allais m'excuser ? De plus, ils sont bien trop idiots et ne comprennent pas encore assez bien ce que « discipline » et « respect » veulent dire. Ce ne sont que de jeunes abrutis qui viennent de sortir des jupons de leurs parents, ceux ci devaient d'ailleurs leurs passez bien des choses pour qu'ils soit aussi désinvolte. Quel idée de s'engager dans la garde royal si on a que faire des instructions de ses supérieurs ? Quel culot de me faire perdre mes moyens ainsi en publique. Si ils ne font a nouveau pas leur travail, je leurs passerais un savon a base de coup de griffe bien placer une fois rentrée, ils ne vont pas comprendre ce qu'il leurs arrive.Heureusement que j'ai toujours mes griffes de métal sur moi. J'ai un pelage épais et long, il est donc facile de camoufler mes armes dans celui ci sans éveiller les soupçons. Si il arrive quelque chose, je serais prête !
… Mais je pense encore comme si j'étais en service. Il me faut arrêter un instant, je suis ici pour oublier quelques instants mes fonctions, surtout que je n'étais pas obliger de rester superviser les patrouilles des nouveaux, mais bon, dépanner un collègue ne fait jamais de mal et sa permet de se faire bien voir. Je ne veut pas passez pour une débutante non plus. J'ai eu le poste de commandante il y a peu mais cela ne veut pas dire que je ne suis pas sérieuse dans mon travail, je dirais même que je le prend encore plus au sérieuse puis ce que je suis la nouvelle commandant, il faut que je prouve mon sérieux et mes compétences, même si elles ne sont plus a prouver. Tous le monde sait, a la garde, que je suis compétente, personnes ne peut douter de mon savoir faire. Je n'ai pas encore eu toutes les informations sur les criminels de la nations mais j'y travaillerais une fois rentrée, je ferais des nuits blanches si ils le faut pour tous mémoriser mais je ne peut pas me laisser intimider par qui que se soit, je ne peut pas me laisser ridiculiser par qui que ce soit, je ne peut pas laisser douter qui que ce soit... Tu sera fier de moi... Je te rendrais fier en prenant ta place, crois moi, tu m'aurais sourit comme tu ne l'aurais jamais fait en me voyant commandante, tu m'aurais tellement félicité et nos petits auraient été tellement content et fier eux aussi de voir leurs mère porter l'uniforme des commandants. Oh, ne vous en faitent pas mes chéries, je vous rendrez fier de moi... Personne ne me surpassera, je serais la meilleure... Pour vous...

-Vous pouvez encore un peu rester, on est en plein jour. Si vous le voulez bien sûr. Il faut avouer que c'est un des endroits ou on a la paix, et qui permet de mettre en suspend les problèmes.

Oh ! J'étais dans mes pensée pendants trop longtemps, j’espère qu'elle ne s'est pas trop inquiétée si elle m'a vue perdre mon sourire et froncer les sourcils alors que mes yeux se perdais sans doute dans le fond de liquide ambrée que contenais mon verre.
Je rie légèrement a sa dernière phrase, elle avais tous a fait raison, les trois gardes ne penserais jamais a me chercher dans un établissement aussi … Miteux, excuser mon terme mais que voulez vous ? Je suis habituer au belles battisses, au belles décorations et a la belle compagnie. Je ne pense pas sa pour dénigrée la jeune chatte qui se trouver devant moi et qui c’était d’ailleurs tourner pour me faire fa... Une étoile ? Une étoile noir sur l’œil … Je suis sur que j'ai déjà vu cela quelque part … Mais où ?
Je fronce les sourcils en la regardant alors que j'essaye tend bien que mal de me souvenir. Une chose étais sur, je l'avais vu alors que j'étais avec mon compagnon, je me souviens juste de la couleurs du pelage de mon mari a mes coter alors que je voyais une étoile noir sur l’œil d'un autre chat. Mais pourquoi aie-je retenus cela ? Est ce important ? Cette femelle connaissait elle mon compagnon ? Cela me semble étrange qu'elle aie côtoyer une personne de sa classe social...Mais où l'aurais-je vu dans ce cas ?

-Excuser moi si je fait erreur mais … j'ai l'impression de vous connaître … Votre visage me dit quelque chose...

J'ai beau la fixer, je n'arrive pas a savoir où je l'aurais vu...
Un silence fait place alors que je la dévisage encore, je secoue alors la tête en reprenant un sourire quelque peu triste en regardant le sol a nouveau.

-Désolé... Je... J'étais persuader de vous avoir vu quand je me baladais avec...

Je me tait un instant avant de reprendre mon sourire de départ en la regardant.

-Ah excusez moi si je vous aie mis mal a l'aise, de vieux souvenirs me sont revenus. Vous avez raison sur un point, ce lieux est parfait pour fuir les problèmes ou pour se calmer. J'ai du disputer trois de mes collègues, ils m’ont tellement mis en colère que j'ai du me réfugier quelque part, cette endroit est bien tomber

Quand je fini ma phrase je perdis peu à peu mon sourire, je repensais encore a mes vieux souvenirs de bonheur aux coter de mon conjoint. Je ne sais toujours pas comment il est mort maintenant que j’y pense … Mes chères petits et lui on apparemment été retrouver non loin de la sortie de la ville, mort tous les trois mais personnes n’a jamais voulus me dire comment ils étaient morts, je ne sait même pas si ils étais blesser. Qu’auraient ils fait presque en dehors de la cité ? Tous cela me semblait déjà étrange quand je l’ai appris mais en plus personne ne voulais rien me dire. Depuis j’ai abandonner, je sait bien que personne ne voudra m’en parler, de peur de me choquer ou de me faire chuter dans une dépression qui m’empêcherais de faire mon travail. Enfin ce ne sont que des hypothèses mais les autres sont bêtes, si j’ai la possibilité d’être déconcentrée dans mon travail car je connais cause de la mort de mon mari et de mes enfants, alors je ne serais pas un bon commandant, il faut faire passer ses intéré après ceux du royaumes, et qui sait, peu être que la cause pourrais me motiver plus en fonction de celle ci. Aaaaaaah les gens sont bêtes …
Ma camarade de boisson émie un petit rire qui m’arracha de mes pensée. Je réfléchissait bien trop aujourd’hui, ce n’étais pourtant pas dans mes habitudes de me perdre dans mes penser, j’étais plutôt du genre terre a terre.
La chatte ne semblait pas rire souvent elle non plus, son sourire et sont expression semblait cependant bien plus sincère que les miennes, il est vrai que mes sourires et mes rires sont, certes, franc et spontané mais reste cependant polie et presque uniquement polie. Ils étaient des restes de biens séance dans les conversation, de l’éducation qu’on m’avais inculquer étant enfant, savoir faire la discutions étais tous un art que je maîtrisait plus ou moins mais mes sourires et mes rires de politesses fessaient très bien façade et barrière a mon manque de conversation. Je n’ai jamais été intéresser par les banalité que pouvais s’échanger deux nobles a un bal ou une soirée organiser, quel ennuie cela pouvais être, j’aime mon confort et me trouver avec des personnes de mon rang, certes, mais de la a apprécier leurs conversations futiles et ennuyeuse. Qu’on motte une griffe plutôt que de devoir supporter toute une soirée la compagnie de ces chats et loups se pensant d’une autre race que le „bas peuple“.

-Je dois le dire je me sens moins seule tout d'un coup. Vous aussi vous donnez des ordre alors, hé bien on est plus ou moins pareils alors. Parfois j'ai l'impression que la moitié sont de vrais incompétents, mais je me dis que je dois être trop dure avec eux

Intéressant, je me demande quel genre de métier elle pouvait bien faire, elle n’avais pourtant pas la carrure d’un meneur sous sa pauvres cape en mauvais état. Peut être dans des mines ? Après tous ses pattes semblaient robustes et pas dépourvue de muscle, elle pourrais très bien faire un travail physique réserver a la basse classe … Je n’ose pas trop lui demander, ce serais déplacer de ma part même si j’ai bien envie de connaître un peu mieux cette chatte, cela faisait longtemps que je n’avais pas parler a quelqu’un avec un rapport autre que de Commandant à personne moins grader. Cela étais agréable de parler a une personne qui ne me connaissait peut être pas …

-Peut-être qu'a vouloir être trop perfectionniste dans ce que l'on fait, on ne voit plus le reste ?

Je voie, c’est une meneuse mais elle n’est pas comme moi. Elle, elle peut se remettre en question. J’avoue que ma fierté en prendrais un cou si quelqu’un me faisait remarquer que je m’y prenais mal ou si on me disait que j’étais trop dur avec les autres. Après tous, presque personne n’ose remettre en doute mes méthodes et les personnes qui le font en on le droit, ce ne sont que des personnes de mon grade après tous.
Je soupire en repensant aux trois abrutis que j’avais disputer plus tôt. Trop dur avec eux ? …. Non, pas eux, peut être d’autres personnes mais certainement pas eux.
Je regarde l’autre chatte avec curiosité.

- Vous vous pensez trop dur ? Il faut parfois l’être non ? Je ne sait pas quel métier vous faites mais chaqu’un de nous doit apprendre avec discipline et a besoin d’un cadre strict pour continuer a évoluer dans sont domaine, n’est te vous pas d’accord mademoiselle … euh …

Je réfléchie un instant avant de me gratter la patte avec mon autre patte de façon légèrement gêné.

-Excuser moi, je me rend compte maintenant que je ne vous aie pas demander votre nom, comment dois-je vous appeler ?

Sans trop hésiter elle me répond

- Hé bien je me nomme Fābŭla, et ne vous excusez pas c'est normal. J'aurais du me présenter avant. J'ai complètement oublié mais discuter avec vous est plaisant.

Je ronronne légèrement suite au compliment. Il est rare que d’autres chats apprécie ma compagnie sauf si ils veulent se sentir en sécurité … Même si parfois l’insécurité vient de moi. Mais il faut dire que je ne fréquente presque que des incompétents.
Je lui fait un signe de tête lui montrant que je lui pardonne de ne pas s’être présenter plus tôt. Elle n’a pas réellement besoin de s’excuser et de faire tand de manière avec moi mais je me doute que mon rang et mon statue social l’oblige presque a me parler comme sa.

-Et vous quel est votre nom ?

J’entre ouvri la bouche pour lui répondre quand quelques murmures vinrent à mes oreilles. Je penche la tête vers le reste du bar qui nous regardais discuter du coin de l’œil. Se croyaient ils discret ?
Je ferme mon visage, abandonnant mon air joyeux et rieur, le troquant contre l’expression de général que j’avais constamment sur le visage pendant mes heures de travail. Les oreilles droite donnant cette impression de corne, le mentons lever et les yeux plisser dont le bleu pourrez sembler briller d’un éclat glacer. Je tenais sa de mon père, lui aussi aimais faire régner sa suprématie. Je me souvient de soirée mondaine ou l’arriver de ma famille pouvais causer de la peur dans les yeux des autres chats. Mes parents étaient bien trop imposant pour passer inaperçu, je ne voit pas pourquoi moi, fille de chat de haute lignée sachant mener a la baguette d’autres chats de même rang sociaux, devrais me taire et faire profil bas alors que des pouilleux me dévisageaient. Ils n’ont aucun droit sur moi, je leurs suis bien supérieur et ils le savent. Je voit leurs regard hésiter a me regarder a nouveau, le silence, si agréable a mes oreilles, s’installe alors que je toise encore l’assemblé du regard. Je fronce légèrement le nez et, satisfaite de l’effet que j’ai sur ces cloporte, je souris, léchant ma patte avant gauche pour ensuite la passer sur mes longues moustaches tous en reportant mon attention sur ma camarade.

- Fābŭla ? C’est charmant, assez peu commun mais non dépourvue d’une certaine grâce. Je suis Ravie de vous rencontrée Fābŭla, je me nomme Eole de Baverne.

J’ose très légèrement le ton en donnant mon prénom afin que d’autres chats puissent l’entendre, je les toise discrètement du regard encore une fois avant de baisser d’un ton pour que seule Fābŭla m’entende cette fois. Et j’ajoute d’en un petit rire

-Eole suffira pour vous cela dit.